Tous ces arbres que je croise en ville ,
lors de promenades futiles ,
comme je les aime , comme je les admire .
Ternes en été , quand le ciel est couvert ,
ils resplendissent lorsque le soleil s’y mire .
Alors , outre leurs feuillages verts ,
on y voit plein de couleurs ,
celles dont sont revêtues leurs fleurs .
Et ces cris mélodieux , d’oiseaux qui s’y cachent ,
ça leur donne un sacré panache !
Et ces odeurs merveilleuses ,
quoique discrètes que , parfois , ils diffusent ,
je sens alors en moi un vrai bonheur qui fuse ,
et croyez-moi que ma promenade est heureuse .
Pauvre passant qui marche sans les voir ni les ressentir ,
à moi , c’est bien ce qui pourrait m’arriver de pire .
lors de promenades futiles ,
comme je les aime , comme je les admire .
Ternes en été , quand le ciel est couvert ,
ils resplendissent lorsque le soleil s’y mire .
Alors , outre leurs feuillages verts ,
on y voit plein de couleurs ,
celles dont sont revêtues leurs fleurs .
Et ces cris mélodieux , d’oiseaux qui s’y cachent ,
ça leur donne un sacré panache !
Et ces odeurs merveilleuses ,
quoique discrètes que , parfois , ils diffusent ,
je sens alors en moi un vrai bonheur qui fuse ,
et croyez-moi que ma promenade est heureuse .
Pauvre passant qui marche sans les voir ni les ressentir ,
à moi , c’est bien ce qui pourrait m’arriver de pire .